Isabella M. Cullen
Messages : 7 Date d'inscription : 29/10/2009 Localisation : Forks
| Sujet: Isabella M. Cullen Jeu 5 Nov - 16:09 | |
| On veut te voir TES PAPIERS SVPNom: Masen Cullen Prénom(s): Isabella Marie Age: 18 ans en apparence et 22 ans en âge vampirique Côté cœur: Isabella est mariée depuis quatre ans et quelques mois, les années passent et on ne les voit même pas passer. Normal quand on a un mari qui répond du doux nom d'Edward Cullen.Personnalité sur l’avatar: Kristen Stewart Nature : Vampire végétarien [X] Vampire carnivore [ ] hybride [ ] Quilleute [] Humain [] Amis, amours, emmerdes? C'est ici EDWARD CULLEN:Mon mari, depuis un peu plus de quatre ans maintenant. "Mari", c'est drôle parce que je trouve ce mot bien ridicule pour le qualifier, pour qualifier ce qui nous unit lui et moi. Edward n'est pas qu'un "mari" il est tout ce que j'ai, sans parler de mes deux enfants bien sur, mais ça n'est pas pareil. Il est celui pour qui j'ai renoncé à mon humanité, à ma vie tranquille. Je ui ai réellement offert tout ce que j'avais en ma possession pour pouvoir le suivre durant l'éternité. Je le suivrais n'importe où. RENESMEE CULLEN: Ma fille, ma magnifique fille. Edward me dit souvent que je la couve un peu trop, et c'est surement vrai mais je ne peux m'en empêcher. Ses traits, ce visage... Il me rapelle sans aucun doute, les lignes majestueuses du visage d'Edward. Ses jolis yeux noisettes me rapelle ma vie d'avant, que j'ai laissé au loin à présent. ANTHONY CULLEN: Anthony, que dire, mis-à-part que son mauvais caractère m'en a fait voir de toutes les couleurs. * Rigole avec légèreté * Notre fils, nous l'avons adopté, peu après la naissance de Nessie. Son amour démeusurée pour notre fillle me fait parfois, je l'avoue, un peu peur. Je ne souhaite pas que Jacob se retrouve une fois de plus laisée. A la fois... Anthony reste mon fils, et le choix n'est pas possible, voilà qui me rapelle une ancienne situation... ALICE CULLEN: Plus qu'une sorte de soeur, une véritable amie, et encore, je trouve mes propos bien faibles pour ce qu'elle représente pour moi. Bon d'accord, parfois, ses folies en matière de fêtes m'insuportent mais chacun a bien des defauts non ? Je sais que je pourrais toujours tout lui dire, compter sur elle et tout ce genre de choses vous voyez. Elle est unique c'est certain. Et puis, je crois, que je n'avais jamais ressentis autant de complicité avec quelqu'un avant de la rencontrer malgré nos différences. JESSY CULLEN: La fille qu'Alice a adopté à la naissance. La meilleure amie, voir la soeur de coeur d'Anthony. Ils n'arrêtent pas de trouver de nouvelles bêtises à faire de jour en jour. Je crois que face à eux, Emmett fait figure de clown triste. ROSALIE HALE: Tout n'a pas forçément commencé pour le mieux entre elle et moi, je vous l'accorde, mais ne dit-on pas que les gens changent ? Evoluent du moins ? Rosalie en est la preuve, je vous l'assure. C'est une personne que je respecterais toujours, j'aimerais parfois, qu'elle soit moins dur avec elle même. EMMETT CULLEN: Le parfait frère ! Enfin... Parfait... Un peu idiot parfois mais... Non je plaisante ! Emmett est adorable, bien que lourd souvent, il met un peu d'ambiance dirons-nous. Je crois qu'il n'y en a pas deux comme lui ( et heureusement ! Un ça suffit j'ai envie de dire ). CARLISLE CULLEN: Mon beau-père, le père d'Edward, celui qui est à l'origine de tout cela. C'est un homme remarquable, droit et juste, bon et honnête. Je l'admirerais à jamais c'est certain. ESME CULLEN: Esmé a été pour moi, une véritable deuxième mère, elle est la douceur incarnée, je l'admire tant pour ça. Je crois que jamais, je n'avais rencontré, une personne si sincère et adorable. La femme parfaite à mon goût.
DECRIS TOIHistoire: Bella Swan est née le 13 Septembre 1987, à Forks, dans l'état de Washington. Mais malheureusement, peu après sa naissance, ses parents, Charlie et Renée se séparèrent, résultat : elle partit vivre auprès de sa mère en Californie où elle passa la majeur partie de son enfance, jusqu'à ce qu'elle aille habiter à Phoenix, en Arizona. La-bas la jeune fille va au collège, puis au lycée, comme tout adolescent de son age, mais elle ne semble pas y trouver sa place, ne comprenant pas la méchanceté puérile des autres de son âge. Elle ne trouve son compte nul part, ne fait pas partit des pom-pom girls, ni des geeks du lycée, rien. Elle semble n'avoir aucune place à elle, d'où un certain malaise et une mauvaise estime d'elle même désormais plus qu'ancrés. Quelques temps plus tard sa mère se remarie à un autre homme, Phil, joueur de baseball plus amateur qu'autre chose. Malgré cela, il doit sans cesse voyager, et Bella voit sa mère malheureuse à la maison, ne pouvant le suivre partout comme elle le voudrait. Bella décide alors qu'il est temps pour elle de quitter Phoenix, son soleil et sa chaleur, pour la pluie et le ciel nuageux de Forks. Elle y retrouve son père, Charlie, chef de la police de la ville, avec qui elle s'entend bien sans qu'il n'y ait pour autant d'effusion. Arrivant là-bas, la déprime l'accable aussitôt, tout est d'un ennuie affolant à ses yeux, rien ne l'amuse et tout l'ennuie, comme si... Rien n'avait plus de sens. Jusqu'au jour de la rentrée où elle croise le regard d'un jeune homme, un lycéen de son âge ( en apparence ), au teint étonnement pâle. Dès cet instant, Forks semble beaucoup plus attrayante et interessante à ses yeux. La famille Cullen l'intrigue, et encore plus celui-là : Edward Cullen. Elle pressent qu'il y a quelque chose d'étrange en lui, sauf qu'elle est trés loin de la vérité... Quels mystères planent au dessus de cet être paraissant si iréel et insaisissable ? Et quels dangers surtout ! C'est la principale question qui occupe ses pensées depuis leur rencontre. Voilà comment tout commença dans cette ville pluvieuse et déprimante nommée Forks. La suite est beaucoup plus intéressante... Et beaucoup trop longue à racontée d'ailleurs. Alors Edward Cullen, voilà la personne qu'il faut blamer pour cette histoire interminable. Et oui !
Isabella devient l'une des leurs. Un vampire, une végétarienne, elle aussi. Comment ? A la naissance de Renesmée, Edward fut contraint de transformer Bella, lui injectant son venin directement au coeur, la tuer afin qu'elle puisse rester en vie si l'on peut dire. Après le départ des Volturi, les Cullen reprirent le cour d'une vie à peu près paisible. Edward et Bella décidèrent d'adopter Anthony, un hybride lui aussi, tout comme la belle Renesmée. Ce dernier devint si proche de leur vraie fille, qu'il en tomba amoureux, en oubliant les colères foudroyantes dont est capable ce chère Jacob Black, rodant toujours dans les parages.
Caractère: Bella est une fille attentionée avec les autres mais pas du tout avec elle même. Elle est toujours attentive même si parfois les autres pèsent sur ses épaules. C'est une fille intelligente avec un sens de l'humour pour le moins cassant, avec pas mal de répartie. Elle pense toujours à la sécurité des autres avant la sienne. Elle deteste se déguiser, s'habiller pour les soirées, s'apprêter, elle ne s'y sent pas du tout à l'aise. Elle se sous-estime tout le temps, alors qu'elle essaye toujours d'empêcher que les autres le fasse. Tout ceci peut être causé par sa timidité affolante. Bella est une de ses filles qui rougis constamment. Elle a un esprit trés réservé, elle est la seule en qui Edward ne peut pas lire, à moins que cette dernière n'use de son don pour le lui permettre... Malgré tout, c'est une personne trés forte, même si, jamais, elle ne sembla s'en rendre compte avant sa transformation. Ses idées sont bien arrêtées et elle ne se laisse jamais entraîner par les autres, dotée d'un fort caractère. C'est aussi quelqu'un de trés têtue, sans cesse, elle veut avoir le dernier mot lorsqu'elle est persuadée d'avoir raison, chose qui arrive assez souvent chez elle. Isabella est déterminée; on peut dire que c'est une vraie tête de mule, sans cesse en train de penser à divers stratagèmes pour arriver à ce qu'elle souhaite, et lorsqu'on lui résiste, elle a la facheuse tendance d'avoir cette moue boudeuse accrochée au bout des lèvres. Isabella est une personne qui comprend vite trés vite, ayant l'esprit trés affuté. Ensuite, on peut dire d'elle qu'elle aime par dessus tout passer innaperçu. Etre au centre de tout n'est définitivement pas pour elle, elle souhaite, au contraire, se fondre complétement dans la masse et y disparaître. Malgré le fait d'essayer de se passer de tout le monde, ainsi que son amour étrange pour la solitude, Bella est une fille sincère avec qui les secrets et confidences des autres seront bien gardés. C'est une personne plutôt facile à vivre en réalité, chose qu'elle tient sans aucun doute de son père, Charlie. Elle écoutera ses ami(e)s même si elle n'est en aucun cas concernée. C'est une épaule solide sur qui se reposer alors qu'elle pense être de nature faible. D'ailleurs, dans sa relation avec Edward c'est plutôt cette dernière qui est la force du couple, elle est celle qui essaye sans cesse de montrer à Edward toute l'estime qu'il mérite, alors que ce dernier ne fait qu'être négatif avec lui même. Chose assez drôle, étant humaine, elle était capable de s'évanouir à la simple vue d'une goutte de sang...
Apparence: Isabella est une magnifique jeune femme de 18 ans, en apparence bien sur. Sa peau est d'une blancheur éclatante, d'un joli ton de craie, soyeuse. De beaux cheveux bruns dotés de nuances noisettes et auburn encadre son visage ayant la forme d'un coeur. Elle n'en prend pourtant pas beaucoup soin, la plupart du temps, elle attire en arrière les premières mèches pour dégager son visage enfantin, tandis que les pointes ondulent gracieusement, frôlant la naissance de ses épaules. Par ailleurs, la couleur de sa chevelure contraste agréablement avec la paleur de son visage, comme si sa peau n'était que translucide. Il est dit qu'elle a un front large et des pomettes hautes, laissant apercevoir de petites fossettes lorsqu'elle rit. Ses yeux sont d'un maginifque doré et légèrement en amande, des yeux profonds dit-on, encadrés par de longs et fins sourcils légèrement plus foncés que ses cheveux par ailleurs. La jeune fille mesure dans les 1m63 et est mince sans être musclée du tout. Un corps fin et élancé, parfait pour d'autres, trop maigre à ses yeux. Son visage est gracieux et la plupart du temps pas vraiment maquillé. Son nez fin et ses lèvres pleines d'une jolie teinte rosée lui donne un charme presque agacant, dont elle n'a pas vraiment conscience, voir pas du tout. Il est dit qu'une odeur plus qu'agréable se dégage d'elle. D'abord on ressent la dureté de la lavande, qui finalement s'estompe, comme pour laisser place au parfum sucré et gourmand de la freesia. Bella n'étant pas une grande accro de la mode, elle privilégie les vêtements simples et confortables tout en étant toujours féminine. Elle porte souvent des jeans et des t-shirts ou bien parfois de jolies tuniques dans des tons crème, ivoire ou même pastel. La demoiselle déteste les robes et les jupes, ne s'y sentant absolument pas à l'aise. Evidemment ne lui parlez pas d'escarpins, de sandales hautes et autres chaussures à talons en tout genre ! Malgré tout, elle ne peut contredire le fait qu'elle devient de plus en plus féminine, chose directement liée, à la compagnie d'Edward.
Et toi derrière ton écran? Pseudo : Are U Afraid ? En général ^^ Comment avez-vous connu ce forum ?: Top site Code ? : - Spoiler:
Oky Exemple de RP : - Spoiler:
La journée que je venais de passer au lycée avait été tout bonnement abominable. D’abord il y avait eu le cours de volley où, à peine débarquée, j’avais envoyé le ballon en plein sur le crâne d’un des garçons. Les filles de mon équipe riaient dans leur coin, étrangement je n’ais pas douté une seule seconde pour me dire qu’elle riait de moi, l’éternelle empotée. Les choses ne changeront jamais. Après l’heure et demie de souffrance intensive j’ai du supporter un cours de littérature où tout ce qu’on nous apprenait était déjà dans un coin de ma tête, déjà étudié à Phoenix. Mais après tout, cet ennui était à la fois rassurant, je savais ce que l’on faisait, c’était toujours mieux que de me sentir perdu un peu plus, non ? Ensuite était venu l’heure de la pause d’onze heure et demie, j’avais réussi à rester avec une des filles du cours de volleyball, et le garçon auquel j’avais heurté la tête malencontreusement. Jessica et Mike il me semble, il y avait d’autres gens avec nous, deux autres garçons et trois autres filles je crois, une Angela peut être, je ne suis pas sure. Point positif, je ne m’étais pas retrouvée complètement seule dès le premier jour. J’avais supporté leurs bavardages continuels, les écoutant d’une oreille jusqu’à ne plus les écouter, j’étais bien trop captivée par ce que je voyais : d’abord je cru voir une apparition, une magnifique blonde, grande et élancée, digne des gravures de mode sur papier glacé, à ses côtés se tenait fièrement un grand brun à l’allure pour le moins athlétique, taillé comme une armoire à glace, je crois que je n’avais jamais vu quelqu’un d’aussi imposant. Mais ce qui me frappa littéralement fut leur beauté quasiment irréelle, ce quelque chose qui émanait directement d’eux, ils ne regardaient personne, ils semblaient… Dans leur bulle.
Je n’arrivais plus à détourner mon regard de ces gens là. Suivirent deux autres personnes, un jeune homme et une fille, encore. Un couple eux aussi, à n’en pas douter. La petite brune pétillante virevoltait gracieusement autour du garçon très pale aux cheveux presque jaunes dorés et bouclés, elle redoublait de sourire à son égard et de regards tendrement complices, je les enviais presque. Je détournais la tête quelque secondes, puis instinctivement la retournais vers la porte de nouveau, et là je su que je pouvais mourir désormais, car j’avais vu la beauté parfaite. Le jeune homme d’un air ténébreux entra à son tour, sa peau était affreusement pâle, peut-être encore plus que les quatre autres qui l’avaient précédé quelques secondes plus tôt. Je ne pus m’empêcher de détailler son apparence. Ses cheveux étaient courts mais assez longs pour qu’il puisse plaquer une mèche en arrière, l’on aurait dit qu’elle tenait d’elle-même. A cause de la pâleur de son visage, ses lèvres rouges détonnaient complètement si bien qu’on ne voyait presque que ça. La dernière chose qui me frappa était l’élégance de sa démarche, légère et rapide à la fois, comme celle d’un félin. Sans que je n’en comprenne la raison, il me sembla que mon cœur se mit à tambouriner à l’intérieur de ma cage thoracique, mes joues me brulèrent également lorsqu’un afflux de sang me monta aux pommettes.
Vous devez vous demander en quoi ceci constitue une mauvaise journée ? Et bien laissez-moi vous en expliquer la principale raison. Le jeune homme aux cheveux cuivrés m’avait très simplement fait comprendre qu’il me détestait au plus haut point, ne me demandez pas pourquoi je ne le sais pas moi-même ! Peut être que Jessica avait raison, lui et sa famille étaient hautains, ils ne s’intéressaient à personne à par eux même. Voilà de quoi j’essayais de me persuader. Mais, bizarrement j’éprouvais un certains malaise. Il fallait bien l’avouer, cette rentrée avait été l’une des pires de ma vie. De plus le temps ne faisait rien pour arranger les choses, il avait plut durant toute la journée, et ce soir quelques coups de tonnerre venaient éclairer le ciel de temps à autre. Tout pour me plaire en résumé… L’heure du diner était arrivée, et j’étais descendu préparer à manger pour Charlie et moi, le pauvre n’avait du manger que des boites de conserves et produits surgelés avant que je ne revienne ici. Je nous faisais cuire deux steaks et préparais une salade de maïs, tentant de m’arracher de la tête l’image d’Edward Cullen me jetant des regards noirs pendant l’heure de biologie, mais ca ne marchait pas vraiment. Après le repas, je pris une douche rapidement, pour une fois je n’avais pas envie de m’y attarder, pas la force surtout, je n’avais envie que d’une chose, m’enfouir loin de tous sous ma couette et pleurer en paix. Le sommeil vint me prendre aussitôt, malheureusement d’ailleurs vu le cauchemar qui suivit. Ce dernier était très étrange :
C’était la nuit et je me trouvais dans un appartement je crois, comme ceux que l’on finit de construire, en travaux, où il y des échafaudages et de la peinture blanche qui dégouline, encore fraiche. Mais ce n’était pas une simple visite pour un état des lieux, non, c’était horrible cette sensation. J’éprouvais une peur insondable, une peur que je n’avais encore jamais ressentis auparavant. Ma mère était avec moi et elle chuchotait, nous étions traquées dans cette appartement fermé à double-tour, sans aucune issus de secours apparente. Nous nous trouvions dans une grande pièce rectangulaire aux airs de salle à manger. Puis soudain, des pas légers mais inquiétant résonnaient dans le couloir menant dans la pièce où nous nous trouvions. Ma mère et moi avions peur de cette personne qui approchait. Renée, sentant que notre traqueur allait entrer dans la pièce couru jusqu’à la pièce suivante me faisant signe de la suivre rapidement, mais moi j’étais tétanisée. Ma mère disparut dans l’autre salle, me laissant seule, ici, alors que le traqueur passait la porte d’entrée du salon. Le salon était plongé dans l’obscurité, seul le léger éclat de la lune, filtrant à travers les volets fermés éclairaient la pièce, assez pour que l’on me remarque de suite. Mais lorsque l’homme pénétra dans la pièce où je me trouvais il ne me vit pas du tout et je ne comprenais pas, j’étais là sous ses yeux et il ne me voyait pas, pourtant l’air mesquin et assassin qui se lisait sur son visage prouvait qu’il était déterminé à me faire du mal. De là où je me trouvais, recroquevillée à l’angle de deux murs, je ne pouvais apercevoir que sa silhouette dans la pénombre. Le traqueur avança, et je fermais mes yeux de peur, retenant ma respiration pour qu’il ne m’entende pas. Lorsque je les rouvris, ce que je vis me frappa. Edward Cullen, l’home qui me pourchassait dans cet appartement vide était Edward Cullen. Lorsqu’il tourna la tête en direction de la porte fenêtre entrebâillée, il croise le reflet de la lune, et je compris pourquoi il ne me voyait pas. Dans mon cauchemar, Edward était aveugle, ses yeux étaient remplis d’un blanc grisonnant, sans aucune pupille apparente. Je m’écrasai encore plus contre l’angle du mur, me faisant la plus discrète possible alors que j’avais envie d’hurler de peur. Edward avançait à pas lents mais surs à la fois. Un seul bruit émanait de son corps, au début je crus à un bruit du à sa respiration mais je me rendis compte que ce n’était pas ça, en réalité il humait la pièce. Un frisson me fit trembloter et j’avais l’impression d’avoir une boule en travers de la gorge. * Fais toi toute petite… *
Edward fit le tour de la pièce, passant le bout de ses doigts blancs contre les parois des murs qu’il rencontrait, je ne bougeais pas d’un millimètre, le souffle coupé, la peur au ventre. Il avança encore, seulement à quelques centimètres de moi et je crus défaillir, mourir sur place, j’aurais préféré. Je décidais de bloquer complètement ma respiration, alors qu’il me touchait presque, son corps planté à vingt millimètre du mien, ne me trouvant toujours pas, je sentis son souffle sur mon visage et je ne pus m’empêcher de tressaillir. Malencontreusement, un soubresaut m’échappa et il le perçut. Instinctivement, je fermais fort les paupières attendant le premier assaut. Un rire strident et macabre s’échappa d’entre ses lèvres retroussées, et sa mâchoire glacée se referma sur ma nuque…
Fin du Rêve.
Je me réveillais en sueur, assise sur mon lit. Des larmes roulèrent sur mes joues, la peur encore au ventre. Quatre heures trente-cinq du matin.
Dernière édition par Isabella M. Cullen le Sam 7 Nov - 0:15, édité 12 fois | |
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