Rosalie Cullen (en cours)

NOM&PRENOM: {relations de votre perso}
Carlisle Cullen et Esmé Cullen, ses parents adoptifs
-Emmett Cullen, son mari
-Alice Cullen, sa sœur
-Edward Cullen, son frère
-Jessy Cullen et Renesmée Cullen, ses nièces
-Anthony Cullen, son neveu

Histoire: {au minimum 15 lignes} Je naquis en tant que humaine il y a de cela soixante seize ans. Je vécus ce que l’on pourrait appeler l’âge d’or, jusqu'à mes dix huit ans. Ma famille n’était pas excessivement riche, elle appartenait à la classe moyenne, ce qui nous permettait cependant de mener une vie confortable. Mon père avait un emploi dans la banque des très réputés King, une famille que l’on pouvait comparer à la famille royale de Rochester, ville ou nous vivions. Ma très chère mère avait la plaisante tache de s’occuper de notre foyer, (c’était une fée du logis !) mais ce qui l’enchantait le plus, était que la plupart de son temps était consacré à mes deux petits frères et plus particulièrement à ma personne. J’étais une mortelle douée de beauté, une qualité qui faisait le bonheur de mes parents et qui les rendaient les plus fiers du monde. Certains que ma beauté était un don de la nature, mes géniteurs l’entretenaient, mon père, en m’offrant de belles robes qu’ils aimaient à me voir porter et je trouvais magnifique, et ma mère elle, prenait soin de ma chevelure. Imaginez ces belles mannequins qu’on trouve en tête de journaux spécial mode & beauté, avec un visage radieux, une taille de guêpe et ce regard charmeur qui vous murmure que jamais vous ne serez à sa place et qu’elle est la plus magnifique de toutes, cela vous envie, cela vous jalouse même, alors considérez que je n’avais pas à les envier puisque j’étais mieux qu’elles. Inutile de vous expliquez après cela pourquoi tous les hommes se retournaient sur mon passage ni pourquoi les femmes étaient subjuguées par mon incroyable don. A cette époque aucuns obstacles ne se dressaient devant moi, j’aspirais à être adulée et chérie, je m’étais programmée une vie parfaite, persuadé d’obtenir ce que je désirais par-dessus tout. L’étape principal dont je rêvais était celle que toutes humaines ce figure, un mariage somptueux, un mariage de princesse, dans une sublime robe blanche à model unique, dessinée uniquement pour cette occasion, descendre l’allée de l’église au bras de mon père, et avec toute une ville pour me contempler et m’acclamer, le jour le plus beau de toute ma vie. J’ai conscience aujourd’hui de la naïveté que j’avais eu à imaginer ce dessein. De toutes les façons j’étais imbibé de l’éducation que me forgeais mes parents à savoir, une vie matérialiste, je n’aspirais qu’à cela. Je me surpris à douter de cette certitude, le jour ou je fis la connaissance du petit Henry, le fruit d’un amour exemplaire, celui de deux jeunes époux qui n’étaient autre que ma meilleure amie Véra et son bienheureux charpentier. Cet enfant, ce petit être qui émanait tant d’amour et de bonheur à lui seul. Je dois avouez qu’en les voyant tout les trois, formant une belle et heureuse famille qui était malgré tout si pauvre, la jalousie transparaissait en moi, je l’a sentais si forte, que pour la combler il me fallait moi aussi me construire un foyer, je voulais enfanter, faire naître en moi ce besoin vital.


L’année de mes dix ans pris un tournant décisif dans ma vie. En effet, je croisais la route de mon futur époux, par une sorte de rencontre arrangée, par ma dénommée mère. Il s’agissait du fils de Royce King, dit Royce King deuxième du nom, la famille la plus riche de Rochester, qui possédait la banque qui employait mon père. Ma rencontre avec ce Royce King se déroula deux jours après son arrivé au département dans lequel travaillais mon géniteur. Ma mère avait omit de préparer le déjeuné du fils King, ce qui fut la raison pour laquelle elle me chargea d’accomplir son devoir. Après m’avoir donné l’ordre d’enfiler une de mes plus jolies robes et de m’être coiffée, je partis porter son repas à Royce. Je ne me souviens pas avoir adressé un seul regard à cet homme, inutile de me donner cette peine je savais pertinemment qu’il n’avait pu résister à mon charme naturel. Je me rappel seulement que suite à cette rapide visite il me fut envoyé de sa part chaque jour ayant suivit ma visite, un bouquet de fleur. Ces envois quotidiens ne cessèrent que dès lors notre première rencontre, qui fut le commencement de notre amour. Mes parents étaient naturellement conquis de cette relation. J’étais heureuse, Royce était l’homme de mes rêves, il était riche, beau et cultivé. J’avais enfin trouvé l’amour je n’avais alors plus de raison d’éprouver aucune sorte de jalousie envers mon amie. Mes désirs devenaient réalité, nos fiançailles eurent lieu au bout de deux mois, j’étais comblée, je n’attendais plus que le somptueux mariage que je m’étais figuré. Le seul inconvénient que je trouvais à cette époque était le fait que Royce ait beaucoup de travail et par conséquent on ne passait que de rare moment en tête à tête. Mise à par cela, il m’emmenait à de nombreuses fêtes, des bals aussi , des soirées ou je me voyais porter de superbes tenues. Mon fiancé et moi aimions à nous faire voir ensemble. Notre mariage fut programmé et que ne fut ma joie quand j’appris qu’il serait identique à celui que j’avais tant désiré, un mariage somptueux avec toute la ville pour nous admirer, ne manquais plus qu’un enfant à mon bonheur…


Je me rendais chez Vera lors de cette ultime soirée. Je passais un agréable moment en sa compagnie, libérée de la jalousie que jadis j’éprouvais à son égard vis à vis de son enfant et de son couple dont l’amour faisaient toutes leurs richesses. Je me demandais simplement comment ils pouvaient répondre aux besoins d’Henry en l’absence de moyens financiers, j’éprouvais un peu de pitié pour eux. Au moment de partir je jetais un dernier regard sur la frimousse de l’enfant qui me souriait tel un ange, me laissant entrevoir deux belles quenottes bien poussées. Je gardais cette image en moi, je rêvais maintenant d’un enfant qui lui ressemble, il avait un visage si angélique, il devait être le plus beau bébé au monde, ce qui m’étonnait fort peu avec des parents s’aimant d’un amour si passionné. Une fois la porte refermée derrière mon passage, je rentrais chez moi, je n’avais pas vus comme le temps était passé vite, il faisait déjà nuit noir et je me trouvais marchant seule dans les rues désertes et noires de la ville. Cependant je n’avais qu’un court trajet à effectuer, heureusement, je n’habitais pas loin de chez Véra. Je marchais tranquillement biens que je pressais toutefois le pas car la température devait frôlées les six degrés si ça n’était pas moins, autant vous dire qu’il faisait froid.

A mi chemin je distinguais une bande d’hommes complètement saouls qui venaient à ma rencontre en braillant mon prénom. Je ne le reconnus pas à la distance ou je me trouvais. Prise de peur j’accélérais le pas dans le but de les semer, mais à mon grand desespoir, ils me rattrapèrent. Que ne fut mon effarement quand je vis se tenir devant moi mon fiancé complètement ivre. Je ne l’avais encore jamais vus dans cette état, je ne lui connaissais pas un passé d’alcoolique et ne l’avait d’ailleurs jamais vu boire. Il me stoppa de force et me présenta et son groupe d’ivrogne, en particulier à son ami d’Atlanta à se qu’il me dit. Celui-ci était « à vide de chair fraiche » tel furent les mots qu’il me souffla à l’oreille après m’avoir arraché mes vêtements de force. Je tremblais de tous mes membres j’étais tétanisé et pétrifiée à la fois, je n’arrivais plus à tenir debout tant la température et la peur me figeait le corps. Ils me jetèrent par terre, durant les minutes interminables qui me parurent des heures ou ils abusèrent de moi, je les entendaient m’insulter et ricaner. Je ne pouvais m’empêcher de pleurer et de pousser des cris sourds, car prisonnier dans ma gorge. Un homme avec de grosses mains avait plaqué celle-ci sur ma bouche, me bloquant en même temps toutes voix de respiration , un autre me rouait de coups pour que je cesse de me débattre avec le peu de forces qu’il me restaient, un autre acheva ma dignité… je ne sais combien de temps dura cette descente aux enfers.

Une fois seule et baignant dans mon sang, je me souviens qu’un homme m’a prise dans ces bras et ma ramener à la vitesse de l’éclair dans une sorte de chambre, ce ne fut que peu de temps après, que je reconnus Carlisle le docteur de notre ville à cette époque. Il m’avait amené chez lui après m’avoir découverte gisant sur les pavés. Puis m’a expliqué ce qu’il était, et qu’il ne me restait que peu de temps à vivre, je n’ais au début pas voulut le croire, il me disait qu’il n’avait autre choix que de me transformer, qu’il ne voulait pas me laisser mourir et qu’il s’excusait de ce qui allait suivre. Cette atroce douleur que provoque la morsure est insoutenable, l’envie de mourir y est décuplée par un million si ne n’est plus. Ce feux dans tout votre corps, l’impression que vous allez exploser, telle une bombe, vous ne pouvez rien faire vous êtes soumis à la douleur vous devez attendre que le temps passe, je devais connaitre une seconde fois la mort, la première n’avait pas suffit, celle causée par tout ces porcs ivres, non il en fallait une deuxième, il me fallait devenir un vampire.

Une fois la douleur éteinte, je me suis levée j’ai regardé mon visage, j’étais sublime, plus magnifique qu’avant, j’avais gagné en beauté, à part ces affreux yeux rouges vifs, j’avais le teint extrêmement pale : je compris que j’étais immortelle. Carlisle me présenta à Esmée, sa femme et Edward, qu’il faisait à cette époque passer pour son frère. Je n’ais pas eu beaucoup de mal à ne boire que du sang animal. Je ne pouvais pas boire de sang humain, je considérais trop la vie mortelle pour ne pas la respecter, mis à part cinq vies que j’ai ôtés. Ces cinq misérables vie étaient celle de Royce King et de ses quatre camarades que je n’ai pas tardé à éliminer. J’ai cependant retardé en quelque sorte la mort de King, disons que je l’ai rendu plus longue et plus atroce, comme celle qu’il m’a infligé. J’ai pris ce qui m’a été dérobé.

Quelque temps plus tard je sauvais des griffes d’un ours, un homme magnifique qui me fit penser au fils de Vera, le petit Henry, il avait les mêmes traits de l’enfant et répondait au nom D’Emmett. Je priais Carlisle de le sauver ou plus précisément de le transformer. C’était peut être égoïste de ma part mais à l’ instant où je l’ai vus j’ai su ce que signifiait vraiment le mot Amour, il a littéralement fait chavirer mon cœur d’immortelle.

Caractère: {au minimum 06 lignes} Rosalie use beaucoup de son physique en particulier pour semer le trouble chez n'importe quel individu. A première vu elle est d'un caractère reboutant, elle méprise tout le monde en particulier les autres filles, qui ne peuvent rester à côté d'elle tant elles se sentent dépourvus de toute qualité. Mise a part son charme menaçant, Rosalie est une jeune femme sensible et renfermée, elle ne parle que trop peu de sa vie passé mais lorsqu'elle fait entendre le doux tintement de sa voix, son entourage ne peut que être émerveillé, elle est ainsi écouter de tous. Elle est froide envers tous ceux qu'elle ne connait pas, par méfiance, c'est en partie de là que vient son air méprisant. Il est évident que cette froideur ne s'attribue pas aux Cullen. Il est conseillé de ne pas la provoquer car elle s'est autrefois révélée particulièrement dangereuse par vengeance. Pour cela il est préférable d'acquérir sa confiance et son amitié, mais vous avez du comprendre que cela demeure impossible, toutefois vous pouvez toujours essayer ! Lorsque cette magnifique tigresse à une idée en tête il est inéluctablement impossible de la raisonner. Cependant comme je vous l'ai dit c'est une personne sensible mais qui au fil de ses années de vampire s'est construite une armure qui reste impénétrable. Ce qui l'a rend plus forte est en partie son côté "narcissique" , elle est conquise par son physique de rêve qui en rend plus d'une jalouse.
Une précision, comme sa famille adoptive, elle fait partie des vampires végétariens ( ceux qui ne boivent que du sang animal comparé aux autres vampire ) ils épargnent ainsi la vie des humains. Il faut savoir que c'est par les Cullen que Rosalie a pu accéder à ce "statut" de vampire végétarien !

Apparence: {au minimum 06 lignes}Rosalie est comme tous ceux de sa race: sublime, hiératique. Mais comme son physique de mortel était déjà proche de la perfection , son statut d’immortel a rendu sa beauté supérieure à celle de tous les vampires. Aucun mots compris dans le vocabulaire mortel ne suffirait à décrire sa sublimité.
Ses cheveux d'un blond doré ondulés, descendent avec élégance le long de ses épaules majestueuses. Elle porte sur son visage un sourire charmeur mais également un sourire aimant destiné aux personnes qu'elle aime. Elle porte la stature d'un manequin. Son physique amène à la comparer à une reine respectée et admirée de ses disciples (=humains).
Côté vestimentaire la belle blonde soigne toujours son apparence et ne porte que les habits les plus prestigieux, les plus chers et qui la mettent en valeur tel que les jeans, les décoltés pour afficher une poitrine généreuse, ainsi que des robes pour mettre en valeur ses fines jambes galbés. Il n'est pas nécessaire que je vous rappel qu'elle peut se permettre ce genre de dépense.