Faut pas pas pousser mémé dans les orties [Free]

[Sale gosse >.< ]

-Calmes-toi Jazz"...

J'te préviens Jasper que si tu ne me laisse pas ressentir ce que JE veux ressentir je te décapites >.<
Jasper eut pour seul réponse un rire sadique. Il aurait bien aimé voir ça ! Charlotte qui essaye de la battre. Elle n’avait jamais réussi dans le temps alors ce n’était pas aujourd’hui qu’elle allait commencer. Jasper fini son repas pendant que son ami ferma les yeux. Il en rit de plus belle. Une fois le cadavre à terre, il se tourna vers Charlotte et lui demanda ce qu’elle avait. Sa réponse fut de l’entrainé fermement hors de la maison et de le secoué en le sermonnant.

Tu n'es qu'un imbécile Jasper Whithlock

Ça ce n’était pas une grande nouvelle. Jasper avait toujours été un peu différent. Il était soi très autoritaire et mature, soit complètement décalé et irrationnel. Il faut croire qu’en ce moment il était plutôt du côté fracassé et fou furieux.

pas aussi...Cruel et fou!

Quoi, il souffre ! Il souffre d’être. De ne pas comprendre la vie. D’être juste assez différent pour ne pas rentrer dans les rangs et pas assez pour devenir un meurtrier sans raison. Il était juste ce qu’il faut fou et juste ce qu’il faut de raisonnable pour se trouver sur une balance. Il ne savait pas quel côté choisir, la folie et la vie de nomade en tuant des humains à tour de bras ou la vie calme, caché et triste au milieu de son couple d’ami. Voila ce qui travaillé Jasper. Certes il ne voulait plus de violence mais il s’était rendu compte petit à petit que c’était la seule chose qu’il savait faire, qu’il faisait bien. C’était sa nature, il luttait contre celle-ci mais…en vain. Charlotte avait maintenant fini de l’engueulé mais elle fit une chose que Jasper n’attendait pas.
Elle lui retourna une gifle brutale ou elle mit toute sa colère. Jasper resta de marbre, il n’avait pas bougé, cette gifle ne lui avait pas fait mal physiquement mais moralement. Il fronça les sourcils et serra les dents. La violence de colère doubla mais il se contrôla car il n’avait aucune envie de faire mal à Charlotte. Il ferma les poings et les serra si fort que ses phalanges déjà blanches, avaient prirent des couleurs encore plus pâles. On entendit craquer ses os tellement il serrait. Elle avait eut le geste de trop, il bondit alors sur le mur de la maison qu’il défonça. Il hurla de toute ses forces, il détruit tout dans la maison, il se jetait sur tout les parois, il frappait tout ce qu’il trouver ! Il était fou de rage d’être autant incompris. A un moment donné, il se planta devant Charlotte et lui siffla alors

Comment oses-tu prétendre que tu comprends ! Tu ne sais pas ce que je ressens. Tu n’imagine même pas les tourments qui hantent mon esprit. Je veux des réponses, je veux comprendre !

Jasper grogna de nouveau avant de bondir tel un lion vers la forêt. Il courut, pendant plusieurs minutes, il ne s’arrêtait pas. Il ne pouvait pleurer mais ses yeux rougit par la rage en disait long. Il courait encore et toujours. Il sentait Charlotte dernier lui. Il voulait lui expliquer ce qu’il ressentait mais il ne comprenait pas lui-même l’état dans lequel il était. Il aurait tellement voulut que la solution tombe du ciel ! Il s’arrêta alors net et se tourna pour faire face à Charlotte.

Je ne comprends pas ce qui m’arrive Charlotte. Je veux mourir !!!!

Il se laissa tombé à genoux baissa la tête. A bout de force, il n’avait plus la volonté de se battre contre lui-même. Il désirait maintenant plus que n’importe quand, en finir de ces jours. Il était si seul au fond de son cœur. A cet instant, il était frêle, faible et docile.

Charlotte s’accroupit prés de lui et lui posa une main sur les épaules. Jasper n’y prêta pas attention, il était si triste. Son cœur se déchirait à chaque battement supplémentaire. Il ne respirait plus, espèrent ainsi appeler la mort qui ne voulait pas de lui. Ses yeux dégageaient toute la peine du monde. Oh Jasper savait que certains étaient plus tristes, plus souffrant que lui mais il existe des moments ou malgré notre raison on veut se croire le plus triste du monde entier. Cela n’apaise pas la douleur qui vous prendre au cœur, ça l’allège à peine…Jasper écouta Charlotte qui pensait encore, et toujours, que c’était Peter et elle qui dérangé. Jasper soupira bruyamment.

Charlotte..Ecoute

Jasper avait alors une voix si calme, si douce que c’était prés effrayant de le voir en quelques secondes si neutre et dénudé de colère. C’était comme si toutes ses forces l’avaient abandonné et que sa colère ne pouvait sortir faute d’énergie. Il n’allait pas mieux, il allait même de pire en pire mais sa léthargie pouvait feindre qu’il était calme et serein. Il leva les yeux au ciel désespéré que sa meilleure amie soit si égoïste qu’elle pense que son couple est à l’origine du mal de Jazz. Il en était tout autre. Il posa ensuite les yeux vers elle, des yeux rougis par le sang et rongé par la mort, elle-même.

Ce n’est pas cela qui me gène. Charlotte, tu me connais depuis tant d’année comment peux tu croire que c’est votre couple qui me dérange.
Certes je souffre de la solitude mais c’est le dernier de mes soucis. Je lutte contre moi-même contre ma nature violente à chaque instant. J’aspire à une vie calme mais le vampire que je suis ne veut que la guerre et le chao. Je sens que mon ancienne vie me manque mais je veux croire que j’arriverais à vivre sans combat. Seulement c’est plus que je ne le pense.

Jasper se tut. C’est assez rare qu’il parle autant. En général, il disait des pseudos phrases, des mots simplement. Il n’était pas bavard, il n’aimait pas parler de lui…mais….aujourd’hui il avait un souci. Il admet qu’il est dérangé, qu’il est fou et que sa folie peut mener à du tord à ses amis. Il était déchiré encore tuer et détruire tout ce qui bouge et entre vivre seul dans la forêt. Il n’arrivait pas à rester calme très longtemps quand il était seul, rapidement sa nature violence reprenait le dessus. Quand il semait le chao sur son chemin, malgré le bonheur et la joie qu’il en retirait une partie de lui se ronger de remord. Il ne savait plus sur quel pied danser. Le fait que ses amis soient ensemble, en couple n’était une infime fraction des soucis de Jazz. Il voulait tellement comprendre, se comprendre ! Il ne pouvait rester dans un bar plus de 10 minutes de peur de tuer tout les gens présents. Il vivait pour tuer, il était née pour ça et maintenant se révolté contre lui-même était une épreuve qu’il ne pouvait pas surmonter seul. Il était sur le point de tout lâché, de s’abandonné à ce côté maléfique qui l’habité. De tout les solutions c’était la plus simple…

Charlotte, c’est un combat contre moi-même que je mène. Entre le bien et le mal et pour l’instant je n’arrive pas à raisonné la fureur en moi.

Jaspe vit les yeux de Charlotte sur lui. Il frissonna en pensant qu’elle n’avait pas ce genre de souci, qu’elle aimait Peter et que la vie était facile. Enfin plus ou moins facile. Il enviait sa meilleure amie et son partenaire. Ils étaient si beaux ensemble, si bien. Il voulait au fond de son cœur trouver aussi la partenaire avec qu’il pourrait chasser et hanté les nuits des villes. Il voulait lui aussi une vie calme avec quelques rebondissements. Il aimait le combat, la bataille, le chao et la souffrance. Il l’aimait car c’était tout ce qu’il avait connu, il n’arrivait pas à se détacher de ses pensées de violence et de meurtre. C’était si dur pour lui de penser à autre chose, il essayer mais dés que son esprit ne relâchait il voyait les combats sanglants qu’il avait mené. Il ne voyait encore au côté de Maria montait des attaques et défendre les positions. Il avait aussi des flashs de sa vie humaine quand il se battait au fusil et au couteau. Jasper avait tant de souvenir qu’il devait les évacué de sa tête pour ne pas devenir fou et la seule manière pour lui de vider son esprit c’était de combattre. Dans ces moments de concentration, il ne pensait plus à rien, il vivait la scène et ne faisait plus qu’un avec l’ennemis pour le terrasser. C’était son défouloir, sauf qu’il souffrait après coup de faire tant de mal. Il aimait ça mais sa conscience quelques minutes après se ronger dans la tristesse et la culpabilité.
Charlotte était toujours face à lui. Elle semblait perdue dans ses pensées. Jasper se demandait ce qui pouvait bien passer par la tête de la jeune vampire. C’est alors qu’elle lui dit, presque fière.

Si tu arrêtais de vivre dans le passé, peut-être que tu ne serais pas si entraîné par ta fureur. Vis dans le présent!

Vivre dans le présent ! Mais qu’est qu’elle croyait ! Elle pensait qu’il ruminé son ancienne vie ? :$ Enfin ce n’était pas faux. Mais c’était plus facile à dire qu’à faire. Il ne voulait pas être déprimé, il ne voulait pas être d’humeur fracassante mais c’était plus fort que lui. Sa lutte inlassable contre lui-même le fatigué. Il ne voyait pas d’avenir pour lui. Il ne voyait que l’instant présent, la bataille entre le monstre et l’ange. Les sentiments de violence et de raison de livrer un combat sans merci en lui. Il ne pouvait pas être tout blanc ou tout noir, il était gris mais d’un gris changeant au fil des heures. Il ne pouvait être stable, il ne pensait pas forcement à son passé mais plutôt à comment gérer son avenir. Vivre dans le présent c’était bien beau, il essayait tout les jours d’oublier son passé mais les visions d’horreur dont il était prit ne le laissant en paix qu’une fois qu’il tuer et massacré des gens. Jasper se leva sans un mot. Le voila repartir dans sa période muette. Jasper de temps en temps perdait la voix, comme s’il ne voulait que plus rien ne sorte. Il regarda Charlotte et soupira. Dans son regard on pouvait lire simple un faible « ouais » Il leva la tête vers le ciel et vit la lune disparaître vers les collines. Il prit alors la direction de la cachette qu’ils avaient trouvé ou devait déjà attendre Peter. Tout ça sans un mot.